L’hiver 2019-20 semble s’éterniser avec ses jours sombres, son humidité permanente…
Dès qu’un rayon de soleil arrive, on admire les quelques fleurs qui restent présentes, les primevères de toutes couleurs.
L’hiver 2019-20 semble s’éterniser avec ses jours sombres, son humidité permanente…
Dès qu’un rayon de soleil arrive, on admire les quelques fleurs qui restent présentes, les primevères de toutes couleurs.
Et voilà ! un nouvel outil au service des riverains, propriétaires de chien principalement. Ils (elles) aiment promener leur animal le long des rues fleuries de notre quartier mais ont oublié d’emmener le petit sac qui leur permet de ramasser le déchet laissé par les besoins de leur chien. Pas de souci : en haut de la rue Becquerel, côté place Nicolas Appert, se trouve un distributeur collaboratif de sac à déjections animales ! La poubelle est à moins de 20 mètres de là.
Vous rêvez d’un tel distributeur dans votre quartier ? N’hésitez pas et faites en la demande au service Propreté de la ville ! Ce distributeur est un prototype destiné à être copié et/ou amélioré !
Hier lundi, comme toutes les semaines de printemps, les jardiniers de la ville sont venus tondre la pelouse. Puis, à ma grande surprise, ils sont revenus parfaire leur travail en définissant bien la limite entre le Rond de Jardin et sa nouvelle clôture, et la pelouse. C’est propre, clair et net. J’apprécie ! Ils étaient 3, et ont fait çà en moins d’un quart d’heure ! Imaginez le temps qu’il m’aurait fallu pour faire çà seule et évacuer les déchets verts (souci non encore résolu).
Aujourd’hui, ont fleuri sur le bitume d’intrépides coquelicots.
Ils marquent la nouvelle entrée du jardin : merci à la municipalité qui a bien voulu installer un passage piéton pour y accéder.
Le jardin est bien-sûr, cultivé sans pesticides !
Il est temps de mettre un panneau explicatif car on pourrait croire que cette belle clôture a été réalisée par la ville qui entretiendrait aussi ce jardin. Il n’en n’est rien !
Après plus de 10 ans, il était temps de rafraîchir la clôture.
C’est désormais chose faite, grâce à la collaboration généreuse d’un voisin, qui a bien voulu nous prêter de quoi faire des trous de plus de 40 cm de profondeur en perçant le ciment utilisé au bord du Rond pour stabiliser les pavés.
Il a fallu percer 46 trous pour 46 piquets de 1,50m de hauteur et 5 cm de diamètre.
Chaque piquet a été coupé en deux et la moitié a donc du être “épointée”. Tous ont du être percés pour y passer la corde de 12 mm de diamètre. Ce travail a été réalisé de main de maître par un autre voisin.
Belle réussite pour ce travail bénévole et collaboratif. Merci à chacun !
Les 46 piquets sont enfoncés de 40 cm et devraient rester verticaux quelques années…
Yupee !
Cela faisait plusieurs années que je militais pour obtenir un passage piéton vers le Rond de Jardin. Les premières réponses de la mairie ont été “cela ne se fait JAMAIS, on ne traverse pas pour aller vers un rond-point”. Alors ma réponse fut, “si c’est un rond-point, le stationnement autour doit être interdit !, or actuellement ce n’est pas le cas, donc ce n’est pas un rond-point !”
Gagné ! mais hélas cela va enlever encore 4 places de stationnement dans le quartier déjà bien saturé avec la proximité des Halles St Martin, de la fac de médecine et de l’hôpital.
En revanche, le jardin va devenir plus visible, et c’est une bonne chose ! cela va peut-être apaiser la circulation et d’ailleurs, ne devrait-on pas évoluer dans ce sens, celui de moins de voitures, de davantage de vélos, poussettes, piétons… vers une ré-appropriation de l’espace public pour un meilleur art de vivre en ville ?
Le ciel est tout bleu, il y a 13 degrés, les jonquilles et les magnolias sont en fleur. Ce temps printanier dure depuis une semaine.
Nous travaillons à rénover le petit grillage qui délimitait depuis 10 ans, le jardin. Le choix s’est porté sur une série de 22 piquets de bois de 75 cm de hauteur, espacés de 1m et reliés par une corde de jute (diamètre 12mm). Il faut percer les trous en bordure du Rond, pour enfoncer les piquets sur 40 cm de hauteur. Heureusement nous avons les outils qu’il faut, car en bordure il y a un peu de ciment…
Le temps est si doux depuis le début de l’hiver que les lavatères semées en juillet dernier sont encore en fleur ! Les dalhias ne sont pas tous morts, on peut encore apercevoir un souci en fleur. Pourtant le printemps s’annonce puisque les primevères se réveillent et les camélias commencent à montrer leur belle couleur fushia.
Ce temps sans vent permet de s’activer un peu au jardin. Le plessage autour du pommier Galeuse a été refait, les framboisiers ont enfin été taillés et les benoîtes qui envahissent les pieds des rosiers Emera ont été arrachées. La benoîte coccineum a été plantée au même endroit, peut-être remplacera-t-elle les disgracieuses “Geum urbanum” ?
Des floraisons d’amaryllis belladona et de tulipes turkestanica (“espèce du tulipe native de l’Asie centrale, particulièrement de Tien Shan, les montagnes Pamir et le nord-est de la Chine. Elle croît sur les pentes rocheuses des montagnes ou sur les bords des cours d’eau à une altitude de 1800 à 2500 mètres” selon Wikipedia) sont attendues au printemps. Mais février n’est pas encore passé. Que nous réserve-t-il ? Faudra-t-il bientôt sortir le voile d’hiver ?
Depuis une dizaine de jours, il n’y a plus une feuille aux arbres. Le temps est humide et les quelques couleurs qui restent au jardin se remarquent encore mieux. Le pommier d’ornement montre fièrement ses petites pommes. Des lavatères semées en juillet sont encore en fleur, mais les dahlias sont maintenant à la peine pour fleurir. Il reste Centranthus macrosiphon qui fait de charmantes petites tâches roses dans le parterre mais il faut bien regarder pour les apercevoir ! Les derniers bulbes de tulipes, les turkestanica, viennent d’être mis en terre en bordure de la parcelle de dahlias. Le printemps reviendra sûrement !